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Portrait de Lara, psychopraticienne

Chemins de vie, chemins de soin

Explorer son monde intérieur demande du courage.

Je me tiens donc à vos côtés, discrète et présente, là où peut émerger le besoin d’un travail sur soi.

 

Avant d’entamer ce chemin ensemble, vous souhaitez peut-être en savoir un peu plus sur celle qui pourrait vous accompagner.

Je suis Lara, psychopraticienne en relation d’aide.

Je suis formée à l’accompagnement psychothérapeutique, dans une approche humaniste et sensible, centrée sur la relation, l’écoute, et la compréhension des mouvements psychiques et émotionnels.

 

Mon accompagnement repose sur une présence attentive, une écoute fine, un accueil sincère et respectueux de ce qui m’est confié. Il s’inscrit dans un cadre professionnel solide, fondé sur une éthique claire et une déontologie rigoureuse.

 

Je m’engage à accompagner chaque personne avec justesse, respect et sensibilité, dans les moments de questionnement, de crise, de transition, ou simplement en quête d’une meilleure relation à elle-même.

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Baie et fleur de belladone pour Les Ombres Claires par @LaCabanedePan - aquarelle

L’expérience au cœur du parcours

Avant d’arriver à la psychothérapie, j’ai étudié l'histoire de l’art et l'archéologie, portée par une curiosité pour les mondes anciens, les mémoires enfouies, l'intérêt pour l'origine des choses, ce qui se transforme et ce qui persiste.

 

La vie m’a néanmoins conduite vers un autre type d’exploration, plus intime.

Ma jeunesse a été marquée par la traversée d’un cancer du système immunitaire à l'adolescence, ainsi que par des maladies chroniques handicapantes que je vis toujours aujourd'hui.

 

Ces expériences m’ont profondément marquée. J’ai alors marché dans mes propres labyrinthes.

Ces épreuves m’ont confrontées à l’ombre : à la souffrance intime, physique et psychique, et avec elles, à la nécessité de se relier à soi, d'écouter ce qui germe dans le silence, de comprendre ce qu'on traverse.

Elles ont transformé mon regard sur la douleur, sur le corps, sur la résilience, et surtout sur la capacité à rester vivant·e, présent·e au monde.

 

Très naturellement, la psychologie s’est imposée comme une voie pleine de sens. Ce domaine qui m’attirait depuis longtemps par sa capacité à éclairer le fonctionnement psychique humain, à faire place à l'indicible, à tisser du sens là où il semblait absent.
 

Je sais par expérience combien il est essentiel d’être accompagné·e avec justesse et humanité, quand l’équilibre vacille.

 

Comprendre les mouvements de l'âme humaine, créer un espace d'accueil, accueillir ce qui cherche à se dire, éclairer en douceur les replis de l'histoire personnelle, cela m’est apparu comme profondément juste.
 

C’est ce parcours, fait d’expériences intimes, profondes, parfois extrêmes, qui nourrit aujourd’hui ma posture d’accompagnante : une présence calme, sensible, enracinée dans la confiance que chacun·e est en capacité, à son rythme, d'éclairer ses ombres et se déployer.

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Un engagement par la formation

Accompagner le mouvement psychique demande plus qu’une qualité d’écoute : cela demande un cadre solide, une éthique claire, et une formation rigoureuse.
Je me suis formée à la psychothérapie au sein de l’e-Faculté de Psychologie et de Psychanalyse (EFPP) d’Aix-en-Provence, dans une approche intégrative mêlant psychologie, psychanalyse et clinique de la relation.

J’y ai étudié de manière approfondie la psychologie de l’adulte, de l’enfant et de l’adolescent, la psychopathologie, la métapsychologie ainsi que la pratique de l’entretien clinique.
Je poursuis actuellement la rédaction de mon mémoire de fin de cursus.

Ma formation est continue, je nourris et approfondis ma pratique à travers :

  • des formations complémentaires (approches spécifiques, psychologie approfondie),

  • des lectures spécialisées,

  • la participation à des conférences et colloques,

  • et des apports transversaux issus notamment de l’écopsychologie, un champ dans lequel je suis également formée et qui relie la psyché humaine à la nature et aux rythmes du Vivant.

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Ce socle théorique et clinique soutient ma posture d’accompagnante, dans une pratique engagée, professionnelle, en constante maturation.

pour Les Ombres Claires par @LaCabanedePan - aquarelle
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Ma posture

Le cadre comme ancrage. Une alliance respectueuse.

Je vous accompagne dans ce que vous êtes prêt·e à mettre en lumière, avec vos mots, à votre rythme, vos prises de conscience, même si cela passe par le flou, la peur ou la résistance.
Mon rôle n’est pas d’interpréter votre vécu à votre place, ni de « sauver », ni de « guérir ».

Ma pratique s’inscrit dans une éthique de la présence : être là sans envahir, écouter sans commander, accompagner sans imposer.

Ce qui se joue en thérapie demande du tact, de la retenue, de l’attention fine à la particularité unique du vécu de chaque personne.


C’est dans cette présence ajustée que le travail peut prendre forme. Parfois lentement, parfois par à-coups, parfois à une vitesse inattendue, mais toujours en respectant ce qui se dit, ce qui se tait, ce qui résiste ou se transforme.
 

Cheminer avec quelqu’un en thérapie, c’est accepter que le chemin ne soit pas toujours facile ou linéaire.

C’est marcher dans l’obscurité parfois, se perdre un instant, se retrouver, faire silence.

Ensemble, nous ouvrons peu à peu des espaces de compréhension, de respiration, de réparation.


Je me tiens à vos côtés avec engagement, discrétion et respect, dans une écoute où l’humain prime sur le savoir.

Je me tiens à vos côtés comme on marche dans un sous-bois : avec calme, attention, en suivant vos pas. Je vous tiens parfois une torche, mais la lumière vient toujours de vous.

Ourse pour Les Ombres Claires par @LaCabanedePan - aquarelle

« Le rôle du thérapeute n’est pas de donner des réponses,
mais d’ouvrir des chemins. »

Irvin Yalom

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Mon langage symbolique du soin

Certains symboles m’accompagnent silencieusement dans ma pratique.
Ils forment un langage intérieur, sensible, que j’ai appris à écouter et à honorer au fil du temps.


Ce ne sont pas des outils figés, mais des présences vivantes, des images intérieures qui résonnent avec le travail thérapeutique : elles ouvrent des passages là où les mots hésitent, soutiennent l’émergence de sens, éclairent les replis de la psyché.

Ce langage symbolique, intime et intuitif, nourrit ma manière d’être présente, d’écouter, d’accompagner.


Ces figures m’inspirent par leur lien au Vivant, aux mythologies, à la mythopoïèse, à la psychanalyse, au travail de Carl Gustav Jung, et à cette langue symbolique que chacun·e porte en soi, souvent sans le savoir.

Je m’y relie non pour interpréter ni expliquer, mais pour écouter ce qui parle en images plus qu’en mots.

Les symboles résonnent avec les mouvements profonds du psychisme, les récits intérieurs, les cycles de transformation, les rêves, les archétypes, les légendes anciennes : tout ce que l’on devine plus qu’on ne comprend, et qui accompagne pourtant chaque traversée de soi.

Dans une approche psychothérapeutique, le symbole n’est pas une rêverie vague : c’est un vecteur de sens, un médiateur psychique, parfois mobilisé pour soutenir les processus de représentation, de narration ou de réintégration. Il permet de donner forme à l’informe, d’articuler le corps, l’affect et l’histoire.

C’est dans cet esprit que je m’en inspire, toujours avec justesse et dans le respect du cadre thérapeutique.

pour Les Ombres Claires par @LaCabanedePan - aquarelle

L’Ourse est une figure ancienne, présente dans de nombreuses cultures, cosmogonies et récits d’initiation.

Elle est reliée à l’instinct profond.


Dans les traditions nordiques et chamaniques, elle est gardienne du seuil, protectrice du territoire intérieur.
Elle n’attaque pas : elle tient, elle observe, elle garde l’espace.

D’un point de vue psychique, l’Ourse représente cette fonction maternante symbolique : non pas celle qui sauve, mais celle qui contient.


Elle incarne une présence stable, ancrée, régulante : ce que le cadre thérapeutique cherche à offrir dans la relation.
 

Reliée à la constellation de la Grande Ourse, elle est aussi associée à l’étoile polaire, repère immobile dans le ciel nocturne. Elle évoque la capacité à s’orienter intérieurement, même dans l’obscurité.


Sur le plan symbolique, elle invite à revenir vers un axe profond, une direction stable en soi.

Animal des cycles, elle incarne le retrait fécond de l’hibernation.

Dans sa tanière, elle entre en un temps de régénération, d’économie d’énergie, de transformation silencieuse.
Ce temps de repli n’est pas une fuite, mais une nécessité biologique et symbolique : un retour à l’essentiel, une pause pour que quelque chose de nouveau puisse advenir.

Elle traverse les saisons, habite les cycles, et enseigne la patience du retour à soi.


Sa force est silencieuse, enracinée, capable de veiller longtemps sans agir trop tôt.
 

L’Ourse me guide dans ma manière d’être face à autrui : sans jugement, sans empressement, avec force tranquille et justesse face à ce qui est.

Elle me montre qu’on peut tenir un espace sans envahir, accompagner sans pousser, être solide sans être rigide.


Elle m’inspire à faire confiance en ce qui germe lentement, à accueillir les replis, les silences, les rythmes non-linéaires du psychisme.

Elle porte en elle la mémoire du temps lent, de l’incubation, de la protection intérieure : tout ce dont a besoin une psyché en reconstruction.
 

pour Les Ombres Claires par @LaCabanedePan - aquarelle
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